Professionnels de santé (diététiciens, nutritionnistes, psychologues, naturopathes, thérapeutes psychocorporels, infirmières, sages-femmes, médecins) et toute personne s’interrogeant sur son rapport à la nourriture et à l’acte de s’alimenter
Méditations de pleine conscience et pratiques de bienveillance et d’auto compassion
Exercices spécifiques en lien avec les excès émotionnels et les pensées automatiques
Échanges en groupe sur les exercices et sur l’expérience de chacun
Utiliser la pratique de la pleine conscience pour apaiser sa relation à la nourriture en développant la capacité à être présent avec tous nos sens à l’acte de manger
Observer l’ensemble de notre expérience sensorielle, émotionnelle, mentale, comportementale avec l’alimentation
Apprendre à connecter son corps et son esprit au moment du repas
Poser un regard attentif, doux et curieux sur l’ensemble de nos comportements liés à la nourriture ; reconnaitre et être à l’écoute de la satiété
Apprendre à savourer et à manger avec plaisir, à développer de la gratitude
Développer un savoir–faire avec la faim émotionnelle, apprendre à réguler les excès émotionnels
Apprendre à développer la bienveillance envers soi-même et les autres
ATELIER 1
Les 7 sortes de faim : visuelle, olfactive, auditive, gustative, la faim de l’estomac, la faim cellulaire, la faim de l’esprit (pensées autour de l’aliment « c’est bon pour ma santé », « c’est trop calorique », « il ne faut pas manger de fruits après le repas » …), la faim émotionnelle
La méditation du grain de raisin
Définition de la pleine conscience & définition du pilotage automatique
Développer de la gratitude avec l’aliment : « je vois dans cette nourriture la présence de l’univers entier qui subvient aux besoins de ma propre existence » écrit Thich Nhat Hanh
Repas en silence : apprendre à observer les sensations, émotions, pensées que suscite en nous l’acte de nous nourrir
ATELIER 2
«Il n’y a rien d’autre dans ma bouche – ni mon chagrin, ni ma colère – ni mon chagrin, ni mon angoisse. Quand je mâche le haricot, je ne mâche que le haricot, je ne mâche ni mes projets d’avenir, ni ma rage. Je mâche très soigneusement, je suis très concentré et, tandis que je m’implique à cent pour cent dans ce processus, je ressens la solidarité avec le ciel, avec la terre et avec les paysans qui ont cultivé ces haricots, ainsi qu’avec les personnes qui les ont cuisinés. Quand je mange de telle manière, je sens que la force, la liberté et la joie me sont accessibles. Le mets ne nourrit pas seulement mon corps, il nourrit aussi mon âme, ma conscience et mon esprit.»Thich Nhat Han
La faim émotionnelle : apprendre à réguler ses émotions « la prise d’aliments réconforte mais dans l’immédiat seulement », nommer son émotion calme le cerveau, apprendre à accueillir l’émotion dans son corps et à rentrer dans le travail d’alchimie des émotions
L’auto compassion : la compassion vis-à-vis de soi-même, l’auto compassion c’est reconnaître que nous souffrons, s’ouvrir à nos problèmes, apprendre à faire face à la difficulté avec attention et avec une bienveillance aimante
Marche méditative
Repas en silence : « comment je mange est aussi important que ce que je mange »
ATELIER 3
Prendre conscience des obstacles qui nous empêchent de manger en pleine conscience
Prendre le temps de respirer en mangeant et sentir que chaque espace entre l’inspiration et l’expiration nous libère du manque, de la peur : la peur du vide influe souvent sur notre rapport à l’aliment
Développer une relation de sympathie avec son alimentation et avec soi-même ainsi qu’une relation de gratitude avec l a nourriture qui nous relie au vivant et à la vie
Repas en silence : prendre conscience des éventuels changements apparus depuis le premier atelier autant dans le repas que dans la préparation de celui-ci
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